Expertise d’évaluation d’un navire de plaisance
Archives de l’auteur : C2EM
Palangrier malgache “CAP SUD”
Audit technique du palangrier CAP SUD ayant pour objectif la faisabilité d’une réfection pour remise du navire sous pavillon français
Pesée décennale LAKSMI
Pesée hydrostatique du palangrier LAKSMI
HELORA
Support technique au Chantier Naval Croisicais pour la construction du navire à passagers HELORA, dessiné par le bureau d’études Mer et Design
Bateau de pêche “CHINOIIS”
Stabilité après embarquement d’un treuil longline
Etudes d’un palangrier côtier de 11,75 mètres
INNOVANT et PERFORMANT
Imaginé pour un développement professionnel durable et maîtrisé de la pêche en Nouvelle Calédonie, cette unité de moins de douze mètres offre toutes les garanties de confort de confort et de sécurité pour les marins.
Conçu pour naviguer dans un cadre professionnel, ce palangrier répond parfaitement à toutes les normes et réglementations exigées sur le territoire français.
Son équipement évolutif peut s’adapter à différents types de pêche. Sa cale à poissons d’environ 12 m3 est isolée thermiquement, mais peut aussi être réfrigérée et complétée par une machine à glace.
Les locaux sont climatisés afin d’améliorer les conditions de vie à bord, et offrir aux marins un confort digne de plus grand navire.
Parce que votre sécurité n’a pas de prix et que la mer exige le meilleur, cette unité vous surprendra par ses qualités marines.
L’actualité de C2EM
Depuis les dernières news mises en ligne, l’activité de C2EM a été particulièrement soutenue. Quelques expertises et études, dont vous pouvez lire les détails pour certaines ci-dessous, mais aussi l’établissement de nombreux projets, qui nous l’espérons, viendrons prochainement enrichir l’actualité du site.
Dernièrement, le navire Océanographique de 12 mètres, construit en 2010 par le Chantier Naval Croisicais, s’est doté d’un portique arrière pour le relevage du matériel de prélèvement. La conception et les plans de fabrication ont été confiés à C2EM, ainsi que l’étude de stabilité prenant en compte l’incidence de la masse suspendue lors du relevage.
Egalement, un sonar a été installé sur le fileyeur polyvalent de l’île d’Yeu, MAMMOUTH. Le Chantier Naval Croisicais a procédé à la mise en place du tube de sonar, les plan d’installation étant réalisés par C2EM.
Autre modification, l’installation d’une antenne VSat sur le navire scientifique ALIS, qui opère à Nouméa. L’étude d’implantation et de structure du mât supportant l’antenne à été réalisée par C2EM.
Dans le même registre, plan de fabrication et consultation pour le mât de feux aluminium du palangrier Pescana RESOLU.
Les remorqueurs Montagnat construit au Vietnam ont été mis en exploitation, après résolution de plusieurs difficultés techniques et administratives.
Une pesée hydrostatique et calcul d’assiette a aussi été réalisée sur les pontons modulaires de la société BALINEAU
De nombreuses expertises ont été aussi réalisées pendant les derniers mois, avec entre autre des mesures sonores effectuées sur le catamaran du chantier Américain ARROWCAT, dans le but de sa certification CE.
Navire océanographique ALBERT LUCAS
L’étude pour la mise en place d’un portique sur le navire scientifique ” ALBERT LUCAS ” a été confié à C2EM. Ce navire de 11,50 mètres immatriculé à Brest, a été construit au Chantier Naval Croisicais en 2009.
Un portique facilitant les manœuvres de mise à bord du matériel, va être installé prochainement sur le navire. Une nouvelle étude de stabilité sera réalisée pour vérifier l’incidence des charges suspendues lors du relevage.
Expertise sur le TAKA
SMGM (Montagnat), les quatre remorqueurs sont arrivés à Nouméa
C’est le 1er janvier que les quatre remorqueurs de la Société Minière Georges Montagnat sont arrivés à Nouméa. Partis 15 jours auparavant de Saïgon au Vietnam, ils ont été débarqués dans la baie le premier jour de l’année.
Dans quelques jours, après leur visite de mise en service par les autorités maritimes, ils démarreront leur exploitation sur les sites de Tontouta, Koumac et Ouinne.
2015 C’EST PARTI ! MEILLEURS VŒUX A TOUTES ET A TOUS
Remorqueurs miniers Montagnat
Galerie
Cette galerie contient 4 photos.
Dernière mission à Saigon effectuée en Novembre, avant l’arrivée prochaine des 4 remorqueurs destinés à la Société Minière Georges Montagnat. Après une dernière épreuve de stabilité sur le BOSS, les remorqueurs de la flotte SMGM vont embarqués le mercredi 3 … Continuer la lecture
Remorqueurs minier SMGM
Galerie
Dernière ligne droite pour les remorqueurs SMGM
Plus que quelques semaines avant l’arrivée à Nouméa des 4 nouveaux remorqueurs de la Société Minière Georges Montagnat.
Après 10 jours sur le site du chantier au Vietnam, trois unités sont désormais à l’eau, la quatrième, le BOSS, devrait l’être en début de semaine. En présence des autorités maritimes Calédoniennes et du Bureau Veritas Vietnamien, nous avons réalisé les essais de stabilité du GHYSLAINE, tête de série des navires MARTHE et OUINNE 2. Les résultats de l’expérience ont confirmés les valeurs prisent en compte dans le dossier de stabilité prévisionnel que nous avons établi.
Quelques heures d’essai ont suivi pour tester le navire et pour valider le fonctionnement des organes mécaniques, sous l’œil attentif des inspecteurs des Affaires Maritimes de Nouméa. Ces essais ayant été positifs pour la majeure partie d’entre eux, certains demandent quelques corrections et devront être validés lors des VMS (visite de mise en service) des quatre navires, programmées entre le 10 et 20 octobre prochain.
A l’issu de ces essais et s’ils s’avèrent satisfaisants, les remorqueurs devraient être embarqués aux alentours du 25 octobre pour une arrivée en Calédonie vers le 12 novembre.
Ces remorqueurs miniers sont les premiers d’une série qui s’annonce importante, deux nouveaux navires étant d’ores et déjà en cours de construction. Au fur et à mesure, la série devrait subir des améliorations, l’objectif étant d’arriver à un standard reconnu et adapté au travail minier.
Remorqueurs SMGM
C2EM a été chargée par le chantier de construction VUOT SONG SHIPYARD au Vietnam, de la réalisation de l’étude de stabilité des quatre remorqueurs en construction pour la Société Minière Georges Montagnat.
Les deux premières unités ont été mises à l’eau dans le seconde quinzaine de juillet. Le GHYSLAINE et le MARTHE, en cours de finition, permis de réaliser une expérience préliminaire afin de déterminer les caractéristiques du navire lège, base essentiel pour l’étude de stabilité prévisionnelle.
Les deux suivants, OUINNE et BOSS, vont être mis à l’eau début septembre. Cette première semaine de septembre sera avant tout consacrée à la visite de mise en service des deux premières unités, GHYSLAINE et MARTHE. Les autorités maritimes françaises seront présentes à Ho Chi Minh pour effectuer les essais des navires et leur conformité à la réglementation. Nous réaliserons pendant cette même semaine l’expérience de stabilité validant les caractéristiques finales du navire lège.
Début octobre, l’expérience de stabilité et visite de mise en service des deux navires suivants seront réalisés.
Après essais et vérification de la conformité, les quatre remorqueurs seront embarqués sur un cargo à destination de Nouméa.
STABILITE DU TAABYA-ON
L’IROISE à appareillé
Après des mois de labeur, la joie de l’équipage !
Après de longs mois de travaux, de surprises, et de complications en tout genre, le palangrier L’IROISE a enfin appareillé pour sa première marée le 16 juin dernier à 23h00.
C’est avec beaucoup d’émotion que l’équipage et son patron, Loïc LEMONNIER, ont pris la mer pour cette première campagne de pêche. L’IROISE, anciennement KIRIKIT, n’avait plus quitté le port depuis qu’il avait été désarmé en 2009. Entièrement refondu, le navire a retrouvé une seconde jeunesse. Beaucoup d’énergie et de sueur ont été indispensable à la remise en activité du palangrier.
UNE REMISE A NIVEAU INDISPENSABLE
Construit en 1994 pour l’armement NAVIMON, ce navire en aluminium de 16 mètres faisait partie d’une série de quatre unités. Abandonné et squatté à quai, il a subi de fortes dégradations nécessitant de gros et coûteux travaux de remise en état. Aussi, en 20 ans, la réglementation a évolué, obligeant donc le nouvel armateur à une remise aux normes du bateau. Si l’évidence s’imposait pour certaines rénovations, d’autres par contre ont suscités la surprise. Des coûts supplémentaires non programmés ont faillis tués le bébé dans l’œuf.
LES ALÉAS DE L’OCCASION
Après un démontage et nettoyage préalable de certaines parties du navire, des anomalies majeures sont apparues, alors qu’elles ne pouvaient être visibles lorsque le bateau était à flot. En effet, après dépose du stratifié de protection dans le puisard de cale à poissons, des chancres importants ont pu être décelés sur les tôles de bordé de fond. Une remise à terre du navire s’imposait pour le remplacement des tôles défectueuses. La cale à poissons a été également refaite en grande partie, car la couche de protection en stratifié fortement usée, avait dégradé les vaigrages. Toutes ces opérations ont été coûteuses financièrement mais ont aussi décalées la remise en exploitation de L’IROISE.